En 1995, mes fils Jean et David qui avaient 13 et 14 ans à l’époque s’étaient baignés dans un étang. Suite à cela ils ont eu de la fièvre et ont été tous les deux hospitalisés à Angers. Les médecins ont diagnostiqué la leptospirose ; cette maladie atteint le foie et les reins et peut provoquer une paralysie des jambes. Mes fils marchaient de moins en moins bien. J’ai prié et réclamé le secours de Dieu car les médecins ne trouvaient pas de remèdes contre la maladie. J’ai demandé à Dieu que dans les quatre jours qui suivent, ils puissent être guéris et avoir le traitement adéquat. Le Seigneur est intervenu et mes deux fils ont retrouvé leur bonne santé comme auparavant dans les quatre jours qui ont suivi. Ils sont sortis de l’hôpital. Je remercie le Seigneur pour tout ce qu’il a fait. Il est toujours avec moi en dépit des luttes et des combats.
Que le Seigneur soit béni. A.S.

J’étais malade depuis plusieurs jours, avec de violentes douleurs à l’estomac. Les médicaments étaient sans effet. C’était un jour de réunion à l’église, et j’ai dit à Dieu dans mon temps de prière du matin, « Ce soir tu me guéris ». Je suis entrée dans l’église pliée en deux de douleur. Après les chants, ce fut la prédication de l’évangile. J’ai ressenti une chaleur sur l’estomac, une chaleur apaisante, durant tout le long de la réunion au point qu’à la fin de la prédication, je n’éprouvais plus aucune douleur ni gêne, m’écriant « ça y est Jésus m’a guérie!» debout, pleine de reconnaissance de ce que Jésus venait de faire pour moi. M.T.M.

Je suis née dans une famille angevine très catholique (oncle prêtre, tante religieuse...). Mon père étant décédé à la guerre de 40 alors que j'avais 2 ans ½, maman se retrouvant seule et sans situation, trouva un emploi de cuisinière dans une famille noble qui voyageait dans ses différents châteaux au gré des saisons. Ne pouvant m'emmener dans ses déplacements sans nuire à mes études, maman me mit en pension chez les religieuses dès l'âge de 7 ans, et ce jusqu'à 17 ans. Donc, pas de vie de famille.

Cherchant la présence d'un père je me mariai avec un homme de 10 ans mon aîné. J'eus un fils, Philippe l'année suivante et commençai à travailler comme secrétaire dans un lycée. Quelques années après, je divorçai. A partir de ce moment-là, je rejetai complètement Dieu qui semblait m'avoir abandonnée. Je me jetai à corps perdu dans une vie de débauche totale : sorties en boîte, liaisons, vie facile et hélas tout ce qui en découle (plusieurs avortements, déceptions sentimentales, problèmes de santé, etc...). Je consultais, à cette époque, les voyants, voyantes à Angers, Nantes, Tours et même jusqu'à Paris.

Une dizaine d'années après, je me remariai pensant m'assagir. Mais, cela n'a pas duré car j'étais encore déçue et je m'enfonçai dans le travail et les sorties. Je quittai l'éducation nationale pour reprendre une affaire familiale (Prêt-à-porter dégriffé) qui marchait très bien.

Mais, en 1983 j'eus un contrôle fiscal de taille qui dura 3 ans. Pendant ce temps-là, je plongeai dans l'alcool mélangé aux somnifères. Ce fut l'enfer... Je voulais me détruire en espérant ne pas me réveiller le lendemain. Chaque jour, je me disais « Demain, je m'arrête, car ça va finir par se voir » et le lendemain, je continuais. Je me battais seule avec mes problèmes et l'alcool!!! Dans les moments difficiles je disais « Mon Dieu! Mon Dieu! ». Je l'appelais, mais je n'étais pas prête à lui confier ma vie.

Au départ, le fisc me réclamait 230.000 euros et après ces trois années il maintenait la somme de 100.000 euros. Ne voulant pas accepter cette décision, je passai en commission des impôts. Et, là finalement ils décidèrent de me demander 1400 euros (réajustement de TVA).

Là, je peux vous dire maintenant que Dieu veillait déjà sur moi.

J'avais gagné, mais j'étais anéantie. Je ne supportais plus l'alcool. Et, un jour où je n'étais pas à mon magasin, ma mère me téléphona en me reprochant de ne pas être à mon travail. Ce fut un déclic. Je me rendis dans ma cuisine et « m'enfilai » ½ bouteille de Ricard sec. Je voulais en finir, je voulais mourir ...

Mais, tout d'un coup j'eus peur de la mort. J'allai chercher un article de presse que j'avais mis sous mon lit en me disant qu'un jour cela me servirait. C'était « l'alcoolisme au féminin ». Il y avait le numéro de téléphone des A.A. (Alcooliques Anonymes) que j'appelai. J'allai à une première réunion à Paris où il y avait beaucoup de femmes. Je n'étais plus seule avec ce problème d'alcool. J'entendis parler de spiritualité, de s'en remettre à Dieu tel qu'on le conçoit, de programme de rétablissement, d'étapes. Enfin, je voyais une grande lumière au bout du tunnel. Je laissai dans cette salle ma vieille peau et je m'abandonnai entre les mains de Dieu, un Dieu bienveillant, compatissant, un Père, un Dieu d'amour qui m'aimait telle que j'étais.

Ce fut mon premier rendez-vous avec Dieu. Je recommençai une vie nouvelle sans alcool. Je suivis le programme des A.A. qui m'apportait la joie, la paix, la sérénité. Mais, tout n'était pas gagné. Car, je n'avais pas fait le ménage dans tous les domaines de ma vie.

Après ces trois années de contrôle fiscal, je déposai le bilan de mon affaire. Puis, j'en remontai une autre avec une amie, toujours dans le prêt-à-porter. Au bout de quelques mois, elle m'accusa de vol et de détournement de chèques alors que nous étions associées. Je fus convoquée à la gendarmerie la veille de Noël. Là, le Seigneur m'attendait pour un deuxième rendez-vous.

Parmi les personnes qui avaient émis les chèques se trouvait un couple de chrétiens. Ils furent convoqués, eux aussi, à la gendarmerie et prouvèrent ma probité. Ils vinrent me voir à la maison et me parlèrent de Jésus, qui, seul pouvait m'aider. Le soir même, ils m'invitèrent à venir à une réunion dans leur église. Je compris tout de suite ce que Jésus avait fait pour moi et qu'il pouvait transformer ma vie. Ce soir-là j'ai abandonné ma vie entre ses mains et depuis je suis heureuse de l'avoir rencontré.

J'ai été vraiment guérie de l'alcool, Il m'a délivrée aussi des somnifères que j'utilisais depuis 30 ans. J'ai arrêté d'aller consulter les voyants et voyantes. Ma vie était complètement transformée.

Maintenant, je m'en remets totalement à Dieu, en toutes circonstances. Il ne m'a pas abandonnée, c'est moi qui l'avais oublié. J.C.

Jean 8/32 “ Vous connaîtrez la vérité et la vérité vous rendra libre “.

Un soir de désespoir, je déambulais, alcoolisée, dans les rues d’Ancenis pour mettre fin à mes jours.

En passant devant une maison, j’entendis des chants qui s’adressaient à Dieu, puis j’entendis des prières se lever. Je n’avais jamais entendu prier de cette façon, j’en restai clouée sur le trottoir.

Enfin, la voix d’un homme s’éleva. Je restai à écouter car la porte était entrouverte, mais je n’osais pas rentrer. Je restais bouche bée sur le trottoir, tremblante et pleurant toutes les larmes de mon corps. C’était cela, j’en étais sûre c’était Dieu qui touchait mon cœur.

Je ne savais pas si je pleurais de désespoir sur moi – même, ou si c’était d’émerveillement de comprendre que c’était Dieu Lui – même qui s’adressait à moi, misérable que j’étais, car je traînais tard dans les bars, je fumais, j’étais agressive avec mon prochain, j’étais noire de péchés.

Jésus m’a délivré ce soir d’octobre 1997, je lui appartiens à présent et je le suis malgré les aléas de la vie. Mon âme bénit le Seigneur tous les jours de ma vie. T.C.

En 2002, nous étions un couple alcoolique suite à des vies difficiles. Malgré les cures, nous replongions toujours dans l’alcool. Nous étions arrivés à un point où Joël ne pouvait plus marcher. Il fit une dernière cure et stoppa complètement l’alcool.
Mais une semaine après, Françoise fit une pancréatite alcoolique aigüe. Nous sommes partis aux urgences et Françoise tomba dans le coma. Elle fut emmenée aux soins intensifs, fit une crise de délirium, qui se suivit d’une perte totale d’elle-même. Les médecins recommandèrent à Joël de lui dire au revoir…
Toujours dans le coma, Françoise fut malgré tout transférée à Nantes.
Joël, qui ne croyait en rien, fut surpris par la phrase du médecin qui lui dit « il ne reste plus qu’à prier » alors que ce dernier ne laissait plus que 2h de vie à Françoise.
Joël eut le réflexe de téléphoner à sa sœur chrétienne évangélique dans le sud de la France, et une chaine de prière entre chrétiens se constitua pour prier pour le salut de Françoise.
Le temps s’écoula ainsi et toutes les 2h, les médecins accordaient à Françoise une sursis de 2h … et cela pendant 3 semaines…
Tout compte fait, une opération fut envisagée et sur le conseil de la sœur chrétienne, un pasteur vint au chevet de Françoise prier pour elle et soutenir Joël. À la surprise de tous, Françoise revint à la vie dans une paix extraordinaire, sans aucune douleur malgré l’importance de l’opération.
De retour à l’hôpital d’Ancenis, le corps médical qui avait accueilli Françoise quelques semaines auparavant, n’en revenaient pas. Lorsque que l’on raconta à Françoise ce qui c’était passé, elle prit conscience de l’intervention de Dieu dans sa vie grâce aux prières des chrétiens. Joël non plus ne pouvait pas rester indifférent devant un tel revirement de situation et l’intervention providentielle de Dieu.
Évidemment l’histoire ne s’arrête pas là, continuant à écouter régulièrement l’évangile, Dieu continua aussi à leur révéler son amour, sa patience et sa puissance par de multiples interventions. Gloire à Dieu qui règne et qui bénit. J.&F.A.

J’ai commencé à venir à Dieu en fréquentant des réunions à l’église évangélique. J’y allais avec plaisir mais sans faire d’expériences concrètes.
Puis un jour, ma compagne m’a quitté et j’ai sombré dans la dépression. Cette déprime me poussait au suicide mais, je ne pu passer à l’acte parce que nous avons des enfants.
J’essayais de me distraire et d’oublier, mais le poids de la solitude était si pesante.
Au pied de mon lit, je fis un appel à Dieu « aide-moi Seigneur ! », vous trouverez ça peut être insignifiant, mais au même instant, une lumière parvint de l’extérieur me communiquant une paix profonde. Ce fut pour moi un signe, comme un clin d’œil de Dieu pour me dire qu’Il était là et qu’Il entendait.
Dès le lendemain, j’ai commencé à prier, à créer une relation avec Dieu. J’ai rencontré celle qui est devenue ma femme, et qui elle-même à l’époque, cherchait Dieu.
Accompagné de ma belle-mère, je vins à l’église évangélique où mon cœur fut touché par l’accueil et l’amour des chrétiens. Je comprenais le message de la croix avec facilité, c’était d’une clarté évidente. Un changement s’en suivi dans mon cœur et dans ma vie avec des délivrances, notamment le tabac.
Merci Seigneur de m’avoir sauvé.
« Quand un malheureux crie, l’Eternel entend, et il le sauve de toutes ses détresses. » Psaumes 34/7 A.M.