Mon papa s’est converti en 1955, puis il est passé dans les eaux du baptême. Malheureusement, il s’est éloigné de Dieu lorsqu’il a épousé ma mère qui n’était pas chrétienne. Ma mère est décédée en 1978. Dès lors, à cause du chagrin, mon père s’est mis à fumer et à boire car il élevait tout seul 12 enfants. Un jour, alors que sa santé se dégradait et que son cœur était affecté, mon père s’est approché de nouveau de Dieu et lui a demandé son secours. Dieu l’a délivré du tabac. Il allait aux réunions avec toute la famille dont ma grand-mère qui s’était convertie à l’âge de 75 ans.
J’allais assez régulièrement aux réunions sans pour autant avoir donné mon cœur à Jésus. Je savais que Dieu était vivant et qu’Il existait ; mais je ne comprenais pas qu’on me disait que l’âme était sauvée alors que je voyais le corps de ma grand-mère morte dans son cercueil et que le pasteur prêchait sur la mort et la résurrection.
Je croyais que l’âme restait dans le corps de la personne morte.
C’est quelques temps après le décès de ma grand-mère que j’ai réalisé que la vie n’était que vanité, qu’on était de passage sur la terre et qu’un jour on partirait.
À ce moment là je me suis mise à chercher, à comprendre si ces choses qu’on me disait sur Dieu étaient réellement vraies, qu’un homme pouvait être sauvé.
C’est le Saint - Esprit qui m’a convaincu de péché, alors que je priais en faisant le ménage dans ma caravane chez moi en 1991. Je me suis mise à pleurer ne sachant pas pourquoi. J’ai demandé pardon au Seigneur pour mes péchés et je l’ai remercié parce qu’il avait touché mon cœur.
J’ai été baptisé dans le Saint-Esprit le dimanche qui a suivi. Ce fut une joie pour moi, ma vie a été transformée et je vivais bénédictions sur bénédictions. Je fréquentais les réunions, parlais du Seigneur autour de moi parce qu’il m’a donné de l’amour pour mon prochain ; un amour que je n’avais pas auparavant. En 1994, je me suis faite baptisée avec mon mari. Et depuis lors je reste attachée à Dieu. A.S.

J’ai vécu dans une famille où l’idée même de Dieu était une ineptie : « Dieu n’existe pas, pourquoi en parler ».
Pourtant, quoi que l’on dise et quoi que l’on fasse, la pensée de Dieu est dans le cœur de tous les hommes. À l’adolescence, mes questions existentielles ne trouvaient aucune réponse dans tout ce que je voyais, lisais ou écoutais. Déçu par le sens même de la vie, je voulais vivre « libre », sans que personne ne m’impose quoi que ce soit, préférant mourir jeune de mes excès que de vivre âgé sans aucun but.
Assoiffé de liberté, condamnant le système dans lequel nous vivons, j’étais de plus en plus conscient d’être prisonnier de ma haine, de mon mauvais caractère, de désirs sexuels, de la drogue, du tabac, de l’alcool, du regard des autres, de mon orgueil etc … c’étaient véritablement eux qui dirigeaient ma vie et j’en étais insatisfait.
Un jour, j’ai eu l’occasion de parler avec une personne qui fit une expérience spirituelle au nom de Jésus. Je fus méfiant au premier abord mais interrogatif par la suite : Dieu existe-t-il vraiment ? Peut-on lui parler ? Peut-il agir dans nos vies ? Peut-on changer de vie ?
Oui, et c’est en lisant la Bible que j’aie découvert toutes les réponses à mes questions et compris que ma soif de liberté passait par le changement de mon cœur en demandant pardon à Dieu pour mes péchés : Ce que je fis, demandant à Jésus son aide et sa grâce pour me délivrer de moi-même … en une semaine toute ma vie fut bouleversée par le bonheur de son amour.
Jésus est mort pour moi, et je vis pleinement grâce à lui car il est ressuscité pour communiquer sa vie à tous ceux qui lui demandent son aide et sa grâce ! Gloire à Jésus.
Jean 8/36 Si donc le Fils vous rend libres, vous serez réellement libres. B.G.